R3 médecine interne – University of Saskatchewan
résident-résidenterésident/résidente seniormédecine interne University of Saskatchewan
juillet 2018
À propos de moi
Je m’appelle Michael Arget, je suis un R3 en médecine interne à l’Université de la Saskatchewan. Je suis un natif de Guelph, en Ontario, où j’ai obtenu un B.Sc. (avec distinction) en microbiologie. Je me suis ensuite rendu à Calgary pour obtenir une maîtrise en santé publique et en leadership en santé publique à l’Université de l’Alberta et un doctorat en médecine à l’Université de Calgary.
Je m’intéressais à la résolution de problèmes et à la prise en compte des patients complexes, ainsi qu’aux maladies infectieuses. La médecine interne me donne l’occasion de m’impliquer dans différents aspects de la médecine.
Vie clinique
En quoi consiste une journée typique de tâches cliniques?
Notre horaire de jour varie en fonction de la rotation. Ceci est un exemple d’horaire d’une unité d’enseignement clinique :
Quels types de rotations sont requis dans votre programme ?
Le programme de formation principale en MI de la Saskatchewan exige deux modules de Soins Coronariens (première et troisième année), deux modules de Soins intensifs (deuxième année), six modules d’enseignement clinique comme résident junior en première année, et environ trois modules de soins intensifs (deuxième et troisième année) de la CTU. Il faut également effectuer des rotations dans diverses sous-spécialités médicales, notamment la neurologie, la néphrologie, la gastro-entérologie et les maladies infectieuses.
Quelles caractéristiques de votre personnalité sont particulièrement utiles dans votre domaine ?
Il est important de faire preuve d’une bonne capacité d’écoute et de communication pour interagir avec les patients.
Quels sont les plus grands défis de votre résidence?
Je travaille avec une excellente cohorte de collègues internes.
Quels sont les aspects les plus difficiles de votre rôle actuel ?
Les six modules de la CTU en première année avec un appel de 26 heures sur quatre étaient épuisants mentalement et physiquement.
Quelle est l’une des questions que l’on vous pose souvent au sujet de votre décision de poursuivre une carrière non clinique ?
Qu’est-ce que la médecine interne ?
Pouvez-vous décrire votre transition de l’externat à la résidence?
J’étais très inquiet à l’idée de commencer ma résidence, car j’avais terminé mes études de médecine en trois ou trois ans au lieu de quatre. La courbe d’apprentissage était abrupte au cours des premiers mois, car j’ai appris un nouveau système de DME et comment me familiariser avec le fonctionnement d’un autre hôpital. Un accompagnement adéquat était disponible pour faciliter la transition.
Quels sont vos projets pour l’avenir ?
J’espère entreprendre une formation de surspécialité dans le domaine des maladies infectieuses. Pour ce faire, il faut passer par le jumelage des surspécialités en médecine à l’automne 2018.
À long terme, je me vois assumer plusieurs rôles entre mon travail clinique, y compris le leadership médical, l’éducation, la recherche et dans l’amélioration de la qualité.
Comment sont vos collègues résidents, et comment interagissez-vous?
Nous sommes un groupe éclectique aux intérêts variés. La médecine interne est généralement l’un des programmes internes les plus importants.
Vie non clinique
Quels sont vos intérêts autres que cliniques (activités de leadership ou de recherche, par exemple)?
J’ai précédemment travaillé dans le contrôle des infections et l’amélioration de la qualité chirurgicale. Je suis intéressé à continuer à travailler à l’amélioration de la qualité. Je travaille actuellement à des projets sur la tuberculose en Saskatchewan et sur le traitement des infections fongiques du sang à Saskatoon.
Je suis également le président de Médecins résidents du Canada (MRC). Dans l’exercice de mes fonctions, je travaille avec une variété d’organisations de résidents et d’intervenants qui sont intéressés à améliorer l’expérience des résidents, le système de soins de santé en général et enfin les soins aux patients.Décrivez votre équilibre entre le travail et la vie personnelle?
Comment y arrivez-vous?
L’équilibre travail-vie personnelle est incroyablement difficile à maintenir. Je recommande aux résidents de prévoir du temps pour aller au gymnase et de prévoir du temps pour se reposer. Prévoyez une sortie en soirée en amoureux. Les listes de choses à faire sont également très utiles.