Dr David Kim

R2 médecine d’urgence – University of British Columbia

résident-résidenteUniversity of British Columbia

mai 2018

À propos de moi

Je m’appelle David Kim, et je suis résident de deuxième année (R2) en médecine d’urgence. Je viens de Nanaimo, en C.-B.

J’ai choisi la médecine d’urgence pour sa diversité. L’éventail des maladies que je vois, des gens très malades aux cas moins urgents, signifie que je ne sais jamais à quoi ressemblera ma journée! De plus, la démographie des patients, des bébés aux personnes âgées, leur statut socioéconomique de faible à élevé, et leurs divers antécédents me donnent l’occasion d’aider des patients de tous les milieux. Je sais aussi que, d’ici la fin de ma résidence, j’aurai confiance en mes compétences et en mes connaissances en réanimation et en soins d’urgence, ce qui signifie que je serai à l’aise avec tout ce qui arrive dans la salle d’urgence.

Vie clinique

Quels types de stages sont requis dans votre programme?

Nous faisons toutes sortes de stages. Les résidents séniors passent la majeure partie de leur temps au service d’urgence, tandis que les résidents juniors (R1 et R2) font des stages en traumatologie, en chirurgie, en obstétrique-gynécologie, en psychiatrie, en médecine interne, en anesthésiologie, en neurologie, en chirurgie plastique, en chirurgie orthopédique, en toxicologie, en soins intensifs et plus encore.

Quelles caractéristiques de votre personnalité ont été particulièrement utiles dans votre domaine?

J’aime le travail d’équipe. En médecine d’urgence, il y a une grande équipe d’infirmières, d’aides-soignants, de techniciens en radiologie, de travailleurs sociaux, d’inhalothérapeutes et d’autres soignants connexes qui travaillent tous ensemble pour aider les patients du service. J’aime ce milieu de travail d’équipe et je m’y épanouis.

Quels sont les meilleurs aspects de votre résidence?

Il est très satisfaisant d’être là pour les patients qui ont besoin de nous à l’urgence. À chaque rencontre avec un patient, je sens que je peux régler un problème et fournir un plan de suivi pour le patient et ses proches. De plus, mes collègues résidents m’étonnent tous les jours. Travailler avec eux et être capable de nous entraider, c’est remarquable – c’est comme avoir une deuxième famille!

Quels sont les aspects les plus difficiles de votre rôle actuel?

La gravité de la maladie des patients et la stabilisation rapide en service d’urgence de patients dont on ne connaît pas les antécédents sont toujours des facteurs de stress. Il y a toujours des patients à voir, mais il ne semble jamais y avoir assez de temps à l’urgence.

Quels sont vos plans de pratique futurs?

J’espère travailler dans un service d’urgence dans une ville de moyenne ou grande taille. L’aspect universitaire de la médecine d’urgence est également intéressant et j’espère aussi avoir l’occasion d’enseigner!

Comment sont vos collègues résidents, et comment interagissez-vous?

Les résidents en médecine d’urgence sont incroyablement accueillants et amusants! Nous aimons travailler intensément et nous amuser intensément. C’est aussi un groupe très diversifié avec des intérêts et des antécédents variés, ce qui rend tout plus intéressant!

Vie non clinique

Quels sont vos intérêts professionnels autres que cliniques?

Je m’intéresse à une surspécialité de la médecine aérospatiale. J’espère obtenir une bourse de recherche dans ce domaine pendant ma résidence et aussi travailler dans ce domaine pour équilibrer mon travail aux urgences.

Décrivez votre équilibre entre le travail et la vie personnelle?

J’aime rester actif, que ce soit jouer au golf, aller au gymnase ou jouer au tennis, ça me stimule. Bien sûr, les amis et la famille sont extrêmement importants et seront toujours une priorité.

Vous pouvez suivre David sur Twitter @_davidkim

Avertissement : Ces profils de spécialité illustrent quelques facettes de la vie de certains résidents/médecins en particulier et présentent leurs perspectives personnelles sur les défis, les possibilités et les avantages de la spécialité qu’ils ont choisie. Ces points de vue ne sont pas nécessairement ceux de tous les résidents, puisqu’il existe une très grande diversité dans les modes de vie, les expériences et les intérêts chez les résidents de chaque spécialité.